Pigier passe à l'antenne !
Voici la transcription de l'interview :
Journaliste : Retour sur les bancs de l'école pour lui Ce matin, on va voir quelles notes il aura à l'examen. Bonjour Alexis Volant, la pression Bonjour David ne pourra pas planter aujourd'hui et retour tous ensemble à l'école. Je vous emmène avec moi à main, c'est tout le temps au fond de la classe. David, on ne sait pas besoin de le rappeler sur les bancs devant puisqu'on va s'intéresser à la future et surtout à la nouvelle école Pigier qui va ouvrir prochainement en septembre, ici à Bayonne. Figurez-vous que c'est la trentième de France et on a l'honneur donc d'accueillir cette école. Vous le disiez rapide retour sur les bancs de l'école aujourd'hui pour découvrir l'histoire de l'école Pigier avec Thomas CHANCERELLE, le nouveau directeur.
Thomas : La marque Pigier c’est une marque qui est assez vieille à 170 ans et c’est un peu l'école qui est qui a inventé l'alternance en France, c'est la première école professionnelle qui a été fondée par Gervais Pigier en 1850. Le fondateur, il est il est expert comptable, il trouve pas d'employé e qui peut travailler avec lui et donc il décide lui de recruter des étudiants et de les former lui-même.
Journaliste : Et sachez que le Pays basque, ou plutôt Bayonne, n'a pas été choisi par hasard, puisqu'on peut parler même d'une réouverture pour cette institution,
Thomas : Pigier a effectivement existé à Bayonne des années 1960 jusqu’en 1994. Et pourquoi ouvrir aujourd'hui à Bayonne ? Parce que, l'offre d'alternance et l'offre, en tout cas de formation en école supérieure ici, étaient parfois insuffisantes, dans le sens où on avait des étudiants qui devaient partir faire des études à Bordeaux, à Toulouse, à Paris et que du coup, on a beaucoup de gens qui viennent vivre ici et qui ont envie aussi d'apprendre ici et d'étudier ici. Donc en fait, il m'a paru pertinent d'ouvrir une nouvelle offre de formation pour permettre aux étudiants qui veulent apprendre tout en vivant au Pays basque de pouvoir rester ici.
Journaliste : Et chers étudiants, sachez que Pigier propose donc plusieurs formations et j'en suis sûr, elles sont faites pour vous.
Thomas : On a trois thématiques principales qui sont le commerce, le marketing et les ressources humaines, sachant que le commerce et distinguer entre commerce classique, immobilier donc on a un parcours immobilier, un parcours commerce, un parcours très marketing, communication et un parcours ressources humaines
Journaliste : Et on va maintenant s'intéresser à l'accompagnement puisque c'est une valeur importante et surtout une valeur très forte pour le directeur.
Thomas : L’accompagnement, c'est la clé pour essayer de d'accompagner les étudiants et de leur offrir vraiment des opportunités réelles, d'apprendre un métier tout en apprenant des compétences théoriques et l'accompagnement. C'est vraiment le l'objet sur lequel on se concentre beaucoup et donc dès le recrutement des étudiants. En fait, on nous accompagne les pré-forme déjà, en leur apprenant à faire des affaires, a créé un compte LinkedIn pour qu'il soit apte à chercher dans une entreprise et après, à venir chez nous, à l'école ou pas d'ailleurs. Mais au moins, ils sont formés dès le premier contact avec nous.
Thomas : Et grâce à cette nouvelle école, cette trentième école Pigier, il faut le dire, c'est vraiment pour former la nouvelle et future génération de salariés. Comme ils sont en alternance, ils sont membres des effectifs des entreprises et donc c'est des gens qui sont opérationnels directement. Ils seront dès le départ faire le métier parce qu'ils ont appris tout au long de leur formation.
Journaliste : Et puis, si vous souhaitez plus d'informations, vous pouvez vous allez sur Pigier.com. L'adresse c'est tout simple. Vous allez sinon directement au forum à Bayonne. Il y aura des portes ouvertes pour découvrir cette école. Le vingt-deux avril prochain de dix heures à quinze heures. Juste une dernière petite précision. Comment vous écrivez Pigier ? P I G I E R. Bien sûr. Va parfait. Merci Alexis volant. Merci Monsieur Talec mon maître. Examen réussi. On se dit à demain comme ça c'est le week-end. Oui, c'est vrai, on va faire les devoirs le week-end quand même alors